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Partant, en bonne partie, d’un riche matériel d’archives, le présent article désir d’être une continuation de celui apparu dans le numéro précèdent, le XVI- ème, de la publication Muzeul National. Alors on avait présenté le période du commencement du Musée National d’Histoire Naturelle et des Antiquités, naquit au mois de novembre 1834. Maintenant, l’auteur présente les moments plus importants des décennies cinq et six du XIX-ème siècle – époque d’accumulation quantitatives et qualitatives qui a abouti par la création des musées de profil, spécialisés d’après le patrimoine détenu, desideratum devenu réalité par les décret signés par le prince Alexandre Jean Cuza en 1864. Une place a part dans l’économie de l’article l’occupe la présentation des permanentes préoccupations du petit nombre du personnel du musée, des directeurs (conservateurs) jusqu’aux gardiens, supervisés par le «Comité archéologique», pour une activité normale de l’institution, pour l’enrichissement, la classification, la conservation et la mise en valeur du patrimoine, ci précieux qu’il a été souvent sollicité pour être présenté dans des expositions internationales. En fin, mais pas en dernière rangée, l’article représente des hommages posthumes apportés a un possible deuxième auteur de cet article, a Hélène Ionesco- Georgesco, toute sa vie travailleuse dans un musée, passée au-delà il y a sept ans. |
