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Relations féodales et alliances militaires dans l’empire des Asénides du point de vue de la Religion (1207-1241)

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Excerpt Le présent étude se concentrera de plus en plus sur les sources qui lui sont offertes par une période relativement instable, abordant d’une perspective religieuse, le passage de l’état des premier Asénides au Deuxième Tsarat bulgare. Le règne du tsar Boril, que nous avons encadré du point de vue générique dans la période des premiers Asénides, représente un moment crucial pour le futur état de Tyrnovo. Ce qui doit être retenu est l’antagonisme d’entre le christianisme orthodoxe et le courent hérétique des bogomiles. Le synodik du tsar Boril, ainsi que les événements qui se sont succédé au Synode orthodoxe de 1211 nous relève une série de particularités, spécifique à la civilisation slavo-bulgare, qui on conduit a une différence de plus en plus évidente de la société des Asénides, à l’accentuation du caractère ethnique bulgare et à une clarification de la situation religieuse. Tout cela a généré des profonds changements, surtout au niveau des classes d’en bas, avec des références spécifiques a la formation d’un pole social de nature manichéiste- bogomile. L’église et la société bulgare disposaient de leur propre tradition culturelle, tout comme de la liturgie slave, parue et développée pendant les siècles antérieurs, à la suite de la mission Kyrillométhodienne. Le souvenir du Premier Tsarat bulgare représentait un fort ferment à valeur politique dans l’évolution de l’Empire des Asénides, qui, dans sa quête de la légitimité fut arrivé de plus en plus proche de son essence politique et spirituelle; différente de Rome mais aussi de Constantinople en ce qui concerne la langue, elle était plus proche du centre byzantin, du monde et de la culture greco-byzantine, aux sources de laquelle il était plus naturellement de revenir. L’influence byzantine sur la société des Asénides est évidente aussi dans la titulature de la cour. Ainsi, au temps des tsars Boril et Jean Asan II apparaissent les porteurs du titre de sebastrocrator, despote et césar parmi les membres tout proche de la dynastie régnante. Les grands boyards étaient des maîtres absolus de la population du territoire où ils avaient leurs apanages, tenant aussi l’administration provinciale ensemble avec le tsar, jouissant ainsi d’une large autonomie et immunité. La particularité des rapports de vassalité du temps de Boril est donné par l’influence occidentale, d’où ressort que des boyards comme Strets et Slav gouvernaient certaines régions, comme une sorte d’apanages territoriales, note qui ressort en évidence, du rapprochement du Tsarat des Asénides avec la féodalité occidentale, implicitement avec l’Empire latin oriental. Avec Jean Asan II, le Tsarat des Asénides a connu une nouvelle étape de développement, matérialisé par un élargissement territoriale sans précèdent. La situation de l’état vlaquo-bulgare rivalisait avec celle des plus importants états de l’Europe du moment. Jean Asan II, continuant la politique de Ioannice Kaloioannes, a cherché et il a réussi d’empêcher l’émiettement féodale, luttant avec un réel succès contre les tendances centrifuges des grands féodaux. Il a mis en valeur, au maximum possible, les effets du démantèlement de l’Empire byzantin, pour renforcer, sur le plan externe, l’état qu’il conduisait. Sa politique, de grande puissance dans les Balkans, a déterminé les rapports entre le Tsarat des Asénides et les plus grands du contexte oriental, soit byzantin ou latin, qui enregistre des plusieurs étapes sinueuses. La nouvelle politique religieuse de Jean Asan II, dans son vaste empire qu’il contrôlait, a été l’effet de son éloignement progressif de l’obédience envers Rome et de son rapprochement avec Nicée, qui a accepté en final a reconnaître la Patriarchie de Tyrnovo, approuvant ainsi l’indépendance du Tsarat vlaquo-bulgare. Le pape Grégoire IX est arrivé d’accuser le tsar Jean Asan II qu’il reçoit les hérétiques sur son territoire. A l’indignation du souverain balkanique, le pape incita le roi hongrois Béla IV a faire une croisade contre l’Empire bulgare, où, d’après les dites du pape, tout le territoire était „infesté par des hérétiques“. Béla IV a accepté le rôle de sauvegardant de la croyance, fait loué par le souverain pontife qu’il lutte en conduisant une croisade contre „la nation de blasphémés, des hérétiques et des schismatiques conduits par Jean Asan II“. La croisade qui se préparait en Hongrie, une sorte de guerre sainte contre les hérétiques, a été empêchée par les actions diplomatiques du „basilé“ des Balkans. Même si les événements décrit plus haut ont eu lieu un peu après 1235, seulement la correspondance entre le roi hongrois et Rome se faisant difficilement, leur fond reste a être cherché beaucoup en arrière, les croisés latins demandant avec insistance au pape Innocente III la propagande pour une croisade contre „l’infidèle“ Ioannice Kaloioannes, en même temps avec la propagation et l’ampleur qu’a prit le beaucoup discuté curent des bogomiles. Ainsi, plusieurs facteurs politiques et surtout religieux sont à la base de la décision, qui a déterminé le tsar bulgare, d’origine vlaque, a conclure en 1235 une alliance avec l’empereur grec de Nicée. Malgré le fait que la religion officielle de la Bulgarie du moyen age était de rite orthodoxe, et les souverain très croyants, sauvegardant de la croyance, ont cherché a maintenir non altéré l’esprit chrétien orthodoxe, le bogomilisme, curent religieux, d’une grande ampleur dans la vie quotidienne, a modifié petit à petit le caractère social de l’état bulgare, devenant ainsi un système réfractaire et désapprobateur, qui avait le choix a éliminer les coutumes standardisées de la classe dominante, copie fidèle du model byzantin dépassé, qui bouillait lentement sous ses propres contradictions. Jusqu'à la finalisation de notre propre enquête concernant l’influence du bogomilisme dans le Tsarat des Assenides et dans les Balkans nous ne dépasserons pas une attitude modérée, qui s’impose dans un pareil cas, restant pour le moment aux énonces du présent étude. Il reste a voir si la syntagme „la nation de blasphémés, des hérétiques et des schismatiques conduits par Jean Asan II“ représente une exagération de l’époque dominé par la primauté papale ou si le bogomilisme était si influent et déterminant dans les Balkans
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Titlul volumului de apariție
  • Muzeul Naţional; XIX; anul 2007