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Ioannis Hurmuziadis Koumbaris, un professeur grec du XIXème siècle, de Galaţi - Interpretations et presentation d’un fond archivistique -

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Excerpt Par le fait qu’après la Révolution pour l’indépendance de la Grèce, des années 1821-1829, le nouveau état a était reconnu, en commencent avec l’année 1831 ont étaient ouverts des consulats hellènes. Parmi ceux-ci était aussi celui de Galatzi. Le 19 août 1838 Pothètos Xenos, le premier titulaire du Consulat Grec de Galatzi, signe le passeport ayant comme numéro d’ordre 107 sur le nom de Ioannis Hurmuziadis «pour aller seulement en Grèce», «pour études à Athènes». En ce qui concerne le possesseur du passeport, Ioannis Hurmuziadis, on donne les suivantes: l’age 19 ans (donc il était né en 1819), taille moyenne, cheveux marron, les yeux blonds (bleu), la bouche normale, le visage ovale, le tain brunet. Comme lieu de naissance on donne la ville de Mesembria (aujourd’hui Neseber, en Bulgarie). Sur le verso du passeport il y a deux mentions: la première, en grecque, du conseiller d’affaires de «Sa Majesté Hellénique auprès la Sublime Porte» M.I. Arghiropol, datant Buiuc Dere 26 août 1838, qui dit «visé, a restituer au passager qui part directement à Andros»; et la deuxième (mais la première dans la suite de l’arrangement sur le verso du passeport), en italien, constituant le visa sanitaire donné le 5 septembre 1838 par D. Mehmet, directeur. Donc Ioannis Hurmuziadis, âgé de 19 ans, part avec un passeport grec de Galatzi, en 1838, à Athènes pour faire ses études. A Athènes, manquant les manuels et n’existant pas des cours imprimés, Ioannis Hurmuziadis soi il prend des notes d’après les discours des professeurs, soi il copie les cours manuscrits des mêmes professeurs. De l’époque de ses études en Grèce nous présentons quelques documents : 1). Une adresse du 30 janvier (?) 1843 par laquelle le maire d’Athènes épargne Ioannis Hurmuziadis du service militaire, ainsi que d’autres personnes désignés nominalement, peut être parce qu’elles étaient aux études. 2). Une adresse du 25 mai 1843, le cercle (Μουσειον) “Socratis” d’Athènes, ayant les signatures du vice-président H. Vafas et du secrétaire G. Vafas, annonçant Ioannis Hurmuziadis qu’il a été choisi pour six mois membre du Comité d’Administration de l’Association (“epitropie”).
3). Le 24 février 1844, étant étudiant licencié, Ioannis Hurmuziadis
demande a la Mairie d’Athènes le droit de porter comme nom de famille Koumbari, parce que «Hurmuziadis» n’était qu’un nom dérivé de celui de son père, un «patronyme». Le 1 avril 1844 le policier de la ville d’Athènes, Nicolas Petrokokinos, approuve cela à l’aide d’un écrit.
4). Probablement pour vu que Ioannis Hurmuziadis puisse partir d’Athènes, le 15 juin 1844 D.N. Lerios et C. Gheorghiadis signent une déclaration de garantie par la quelle ils deviennent témoins que Ioannis Hurmuziadis, âgée de 24 ans, habitant depuis quatre années la ville d’Athènes, étudiant a l’Université, «n’abuseras pas de son passeport», il ne changeras pas sa nationalité et il retournera a temps. Ioannis Hurmuziadis, obtient sur une feuille timbré avec un timbre sec et les armes de la Grèce en filigrane les suivants attestés de la part de quatre professeurs de l’Université d’Athènes, cours des quel il les a poursuivi – L. Ross, professeur d’archéologie, C. D. Schina, professeur d’histoire, Th. Manussis, professeur d’histoire et d’archéologie, ainsi que de la part du recteur C. Asopios En septembre 1844 Ioannis Hurmuziadis Koumbari était de retour à Galatzi – conformément a une notice manuscrit, faite sur l’une des pages d’un cahier «Différentes notices journalières», qui mentionne «le 1 septembre 1844 à Galatzi». Et le 9 septembre de la même année il se trouve à Tecuci, ou il rédige une inscription funéraire pour la tombe de Nicolas Angheli Spyridakis. Immédiatement après son retour d’Athènes, Ioannis Hurmuziadis Koumbari (Ι.Η. Κουμπαρησ, comment il signait, Kumbari ou Cumbary comment apparaît son nom sur différentes adresses) ouvre une école privée a Galatzi. Des divers documents gardés dans le fond d’archive de ce professeur ressort des informations concernant la famille Koumbari avec des représentants a Constantinople, Odessa, Galatzi et Braila. De son mariage avec Pénélope Avxinatidi il a eu sept enfants, parmi lesquels une fille, Aspasie, qui s’est marié avec un Mavrodi, qui en se roumanisant le nom est devenu Mavrodin, qui en avait plusieurs frères et sœurs autant à Braila qu’à Tecuci. Ce Mavrodi de Braila faisait parti des des quels s’est occupe l’écrivain Constantin Gane. La dernière habitation des Mavrodins, à Braila, a été 6, rue Belvédèré, dans une maison qui leur appartenait, construite par eux sur un terrain laissé par testament d’une vielle tante morte sans héritiers directes. Dans cette nouvelle maison, meublée avec des vielles choses, car tous les acquêts, faits aux cours du temps, ont été dépensés pour la construction de la maison, se trouvait aussi une petite armoire «bibliothèque» avec des livres restés de chez le père d’Aspasie Mavrodi, Mavrodi, Ioannis Hurmuziadis Koumbari. Parmi ces livres se trouvait un incunable, plusieurs œuvres en allemands du
philosophe Emmanuel Kant imprimé environ pendant l’année 1800, ainsi que nombreux livres d’histoire écrits en grecque ancien ou moderne, latin, français et roumain. Une partie de ces livres nous faisons mention dans la liste annexe, de la fin du présent ouvrage – preuve du haut niveau culturel et du élevé esprit dans le quel vivait la société de Galatzi et Braila, composée d’hommes normaux mais très actifs sur tous les plans, pendant le XIXème siècle.
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Titlul volumului de apariție
  • Muzeul Naţional; XIX; anul 2007