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Acţiunea bulgară din 1868 în optica comandantului misiunii militare franceze la Bucureşti / L'action bulgare de 1868 en l'optique du commandant de la mission militaire française a Bucharest

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Limba de redactare română
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Excerpt Après l'année 1866 ont été produites des échanges majeures dans la politique de l'Europe. Les Grandes Puissances, en particulier la France qui avait l'hégémonie sur le continent, ont commencé se concerter pour une diplomatie, qui avait pour l'objet un système compensateur et discriminateur sur le compte des peuples qui désiraient la libération nationale et l'édification d'États indépendants. Ainsi que, ce désir des nations balkaniques parrait condamné. L'Empire Ottoman était aidé par les jeux diplomatiques des Grandes Puissances de conserver son statu-quo. Dans ces conditions, les peuples de l'aire sud-danubienne, serbes, bulgares, albanais et même les grecs se sont orienté vers la formation d'un front commun de lutte anti-ottoman. La Roumanie a été un centre important du pareil front. Pendant les années 1866 - 1868 les bulgares, en grande majorité émigré et habitant en cette principauté, se sont engagés dans quelques actions préparées sur l'accord réciproque, comme la clotûre de la "Sacre Coalition" de 1866, l'organisation des détachements des combattants dites "haiducs", qui ont traversé le Danube le printemps de 1867 et l'été de 1868. Le fondement de ces détachements a été posé par G.S. Rakovski, qui a crée en 1867 Le Commandement Suprême Secret Bulgare. Après sa disparition physique en l'automne 1867, l'action des détachements bulgares a continué. En été a 1868 les "haiducs", conduits par Etienne Caradgea et Hagi Dimitar ont traversé le fleuve en Bulgarie pour combattre contre les turcs. L'appui et la protection de la Roumanie offertes sur sont territoire aux bulgares engrenés dans cette action ont mécontenté les représentants diplomatiques des Grandes Puissances. Ils ont admonesté et ont fait des remontrances aux autorités roumaines. Les rapports de Paul Lamy, commandant de la Mission militaire française à Bucharest, écrits pendant l'été et l'automne 1868, nous relèvent, encore une fois, l'attitude et l'optique des ces Puissances sur les roumains et enfin les pressions sur le prince Carol de Hohenzollern, l'hospodar roumain et le Parlement valach. La Roumanie a payé le soutien de ses voisins bulgares au prix de la demission du cabinet ministériel liberal A. Golescu en novembre 1868.
Paginaţia 97-105
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Titlul volumului de apariție
  • Muzeul Naţional; XIII; anul 2001