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Problema voluntarilor români din Austro-Ungaria şi publicaţia “România Mare” (1917) / Le problème roumains de volontiers d’autrichehongrie et la publication “România Mare” (La Grande Roumanie)

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Excerpt Dans l’article ayant le titre de plus haut l’auteur met en discutions un problème moins abordé et traité d’une manière assez superficielle jusqu’à présent, celui des roumains de Transylvanie et de la Bucovine devenus prisonniers en Russie, pendant la première guerre mondiale et l’accomplissement de leur désir de s’inscrire comme volontiers dans l’armée roumaine, apportant ainsi leur contribution à la réalisation du rêve d’union de tous les roumains dans un seul état. Pour montrer combien de réelle, actuelle et aigu était ce problème, l’auteur utilise, faisant l’analyse, les précieuses informations qu’on trouvent dans l’hebdomadaire ”România Mare” (La Grande Roumanie), ayant comme sous-titre “la feuille des volontiers roumains d’Autriche-Hongrie”, éditée par les intellectuels du Corps de Volontiers Roumains de Russie, sous la présidence de Sever Bocu, dès le 20 juillet 1917. La gazette est apparue, en roumain, d’abord à Kiev, jusqu’au mois de j anvier 1918, et en suite, du 7 janvier jusqu’au 8 avril 1919, dans les mêmes conditions graphiques et ayant la même présidence, à Paris, mais avec un sous-titre changé – ”la feuille de volontirs et des soldats roumains de France et d’Italie”. A part le merite du meintien permanent des liaisons entre les prisoniers roumains repandus dans toute l’imense Russie, la publication ”România Mare” s’est assumée, du commencement, un rôle militant et non contemplatif, elle a eu le rôle d’organiser, pratiquement, les unités de volontiers recrutés, en s’occupant de leur départ vers la Roumanie pour lutter dans l’armée de l’Ancien Royaume. En même temps, ”România Mare” est celle qui a initié, plusieurs fois, des quêtes pour la constitution, en septembre 1917, du “fond d’aide des prisonniers roumains”, comme d’ailleurs aussi d’autres deux fonds, de même très utiles – celui destiné aux prisonniers malades ou invalides et “le fond de propagande à l’étranger pour la destruction de l’Autriche-Hongrie”. En conclusion, l’auteur montre qu’on peut affirmer avec certitude qu’en dépit des inadvertances inhérentes pour une pareille publication issue sur un territoire étranger, dans des contions très difficiles et n’ayant pas toujours les moyens financiers nécessaires, ”România Mare” a représenté n on seulement une tribune de lutte mais aussi une chronique fidèle des problèmes des prisonniers roumains de Russie dans leur désir de s’enrôler comme volontiers dans l’armée roumaine et de servir, ainsi, l’idéal national de la Grande Union.
Paginaţia 209-214
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Titlul volumului de apariție
  • Muzeul Naţional; XIX; anul 2007